Le président de la république du Burundi, Evariste Ndayishimiye a accueilli, le mardi 1er octobre 2024, au palais présidentiel NtareRushatsi, l’Ambassadeur du royaume d’Arabie saoudite au Burundi basé à Dar-es-salaam, Yahya Bin AhmedOkeish. La visite de ce diplomate s’inscrit dans le cadre du renforcement des relations d’amitié et de coopération entre le Burundi et l’Arabie saoudite.
L’Ambassadeur Okeish a indiqué qu’il est venu au nom du Prince heritier, Premier ministre du royaume d’Arabie saoudite en marge du renforcement des relations d’amitié et de coopération qui existent entre le Burundi et l’Arabie Saoudite. Il a ajouté qu’il est venu avec une invitation du chef de l’Etat burundais pour participer à un forum sur l’investissement (Future Forum investment initiative), qui se tiendra à Riyad cette année 2024. Cependant, M. Okeish a indiqué que le renforcement de la coopération entre le Burundi et l’Arabie saoudite permettra à ces deux pays de réaliser leurs Visions 2040.
Le chef de l’Etat burundais se réjouit de la coopération entre le Burundi et l’Arabie saoudite
Quant à Rosine Guilène Gatoni, porte-parole du chef de l’Etat, elle a précisé que M. Okeish était venu avec une invitation du chef de l’Etat burundais pour partiper à un forum de haut niveau sur les investissements dans lesquels seront présents plusieurs hommes d’affaires venus de différentes régions du globe. Il s’agit, selon Mme Gatoni, d’un événement dans lequel ils vont analyser les projets de grande envergure dans lesquels il faut investir dans le cadre de se soutenir mutuellement pour le développement des Etats.
Mme Gatoni a ainsi fait savoir que le chef de l’Etat a salué les relations d’amitié et de coopération existant entre le Burundi et l’Arabie Saoudite mais aussi l’invitation audit forum. Il s’est également réjoui que l’invitation s’inspire de la vision du Burundi 2040-2060, un Burundi pays émergent en 2040 et développé en 2060. Les deux hautes autorités ont également analysé comment conjuger ensemble les efforts pour aboutir aux visions que leurs Etats se sont fixées pour le développement.
Laurent Mpundunziza