Une Organisation non gouvernementale « DKT international » œuvrant dans le domaine de la planification familiale vient de lancer officiellement ses activités par le ministère en charge de la santé. Face à la culture burundaise de mettre au monde beaucoup d’enfants, la population est appelée au changement de mentalité en planifiant les naissances. Cet appel a été lancé le vendredi 17 mai 2024 par le directeur du Programme nationale de la santé de la reproduction (PNSR), Ananie Ndacayisaba.
« Comme vous le savez, notre pays [le Burundi, NDLR] fait face au problème de la démographie galopante. Nous sommes alors appelés à conjuguer les efforts, pour faire face à ce défi et atteindre les cibles des objectifs du développement durable et de la vision du Burundi émergent en 2040 et développé en 2060 », a rappelé M. Ndacayisaba. Il s’est réjouit que l’organisation non gouvernementale « DKT international » vient emboîter le pas aux autres partenaires, pour contribuer à améliorer les services de planification familiale. « Nous avons toute une gamme de méthodes de contraception moderne, d’autres méthodes vont s’en ajouter pour augmenter la chance à l’homme et à la femme de choisir une parmi une gamme de méthodes de planning familial ».
M. Ndacayisaba a aussi indiqué que les Burundais ont une culture pro-nataliste. Toutefois, à voir la situation actuelle, il a rappelé que la superficie du pays n’augmente pas et appelle au changement de cette culture. Les familles sont appelées à planifier les naissances et à mettre au monde des enfants dont ils sont capables de satisfaire les besoins. « Avec cette culture pro nataliste, il est difficile d’atteindre le développement durable. J’en appelle à la synergie dans la sensibilisation de toutes les parties prenantes pour changer cette mentalité ».
A la question de savoir si les méthodes contraceptives peuvent présenter d’importants effets secondaires, Ananie Ndacayisaba tranquillise. Il rappele que le Burundi dispose des services habilités au contrôle et à l’agréement des produits pharmaceutiques qui entrent au pays.
Une Organisation non gouvernementale « DKT international » œuvrant dans le domaine de la planification familiale vient de lancer officiellement ses activités par le ministère en charge de la santé. Face à la culture burundaise de mettre au monde beaucoup d’enfants, la population est appelée au changement de mentalité en planifiant les naissances. Cet appel a été lancé le vendredi 17 mai 2024 par le directeur du Programme nationale de la santé de la reproduction (PNSR), Ananie Ndacayisaba.
« Comme vous le savez, notre pays [le Burundi, NDLR] fait face au problème de la démographie galopante. Nous sommes alors appelés à conjuguer les efforts, pour faire face à ce défi et atteindre les cibles des objectifs du développement durable et de la vision du Burundi émergent en 2040 et développé en 2060 », a rappelé M. Ndacayisaba. Il s’est réjouit que l’organisation non gouvernementale « DKT international » vient emboîter le pas aux autres partenaires, pour contribuer à améliorer les services de planification familiale. « Nous avons toute une gamme de méthodes de contraception moderne, d’autres méthodes vont s’en ajouter pour augmenter la chance à l’homme et à la femme de choisir une parmi une gamme de méthodes de planning familial ».
M. Ndacayisaba a aussi indiqué que les Burundais ont une culture pro-nataliste. Toutefois, à voir la situation actuelle, il a rappelé que la superficie du pays n’augmente pas et appelle au changement de cette culture. Les familles sont appelées à planifier les naissances et à mettre au monde des enfants dont ils sont capables de satisfaire les besoins. « Avec cette culture pro nataliste, il est difficile d’atteindre le développement durable. J’en appelle à la synergie dans la sensibilisation de toutes les parties prenantes pour changer cette mentalité ».
A la question de savoir si les méthodes contraceptives peuvent présenter d’importants effets secondaires, Ananie Ndacayisaba tranquillise. Il rappele que le Burundi dispose des services habilités au contrôle et à l’agréement des produits pharmaceutiques qui entrent au pays.
Moïse Nkurunziza