
M. Yamuremye informe que grâce à l’approche innovante et le Partenariat public-privé (PPP), l’agriculture sera améliorée et le Burundi aura pas mal des produits à exporter (Photo d’archives)
Le directeur exécutif de la Chambre transversale des jeunes entrepreneurs du Burundi (CTJEBU), Moïse Yamuremye, parle de la contribution de cette organisation dans le développement du Burundi via le projet appuyé par le ministère des affaires étrangères du Royaume des Pays-Bas à travers l’ ambassade de ce Royaume au Burundi. Ce projet, dit-il, a pour objectif de promouvoir le domaine agricole en y apportant des nouvelles technologies et des approches innovantes.
Le secteur primaire qui peut contribuer au développement durable c’est l’agriculture. Pour M. Yamuremye, si on renforce l’écosystème entrepreneurial, cela peut appuyer le développement. En effet, la CTJEBU qui est l’une des chambres fédérales de l’industrie, s’est associée avec une association pour la mise en œuvre d’ un projet qui était appuyé par le ministère des Affaires étrangères du Royaume des Pays-Bas sous commandement de l’ ambassade de ce Royaume au Burundi ». Grâce à ce projet, ajoute-t-il, certains membres des associations ont appris comment associer les nouvelles technologies avec l’agriculture. « Nous avons également appris des approches qui ont réussi dans d’autres pays et qui ont poussé au développement notamment ceux européens, certains pays d’Afrique et de l’Océanie. Nous avons été appuyés en formation par l’université très active. Cette dernière est en train de contribuer au développement en Algérie, en Europe, Amérique latine. Elle veut investir au Burundi pour contribuer à apporter un développement durable au Burundi. Les approches innovantes qui nous ont été montrés vont apporter une valeur ajoutée dans l’agriculture avec les nouvelles technologies ». Lors que toutes les techniques apprises seront appliquées, l’agriculture burundaise sera développée. Car les produits agricoles exportés sont encore insuffisants, innovants l’agriculture sera améliorée et Burundi aura pas mal des produits à exporter grâce aux approches innovantes et au partenariat public-privé (PPP).
Apollinaire Ndikuriyo