
Les journalistes rentrent satisfait et promettent de jouer pleinement leur rôle
Le CIPCC (Centre international de presse et de communication de Chine) a procédé, le lundi 9 décembre 2024, à la remise de certificats aux journalistes francophones africains qui venaient de terminer leur formation. Cette formation organisée à l’intention de treize journalistes venus de treize pays francophones d’Afrique, était essentiellement centrée sur les « études sur le développement de la Chine et l’échange médiatique ». C’est donc une fierté du côté de la Chine, de l’Afrique, des organisateurs et des bénéficiaires pour renforcer les relations sino-africaines et les échanges médiatiques et culturels.
Afin d’approfondir davantage la compréhension des journalistes des médias francophones de l’Afrique sur la condition générale et la culture essentielle de la Chine et de promouvoir les échanges journalistiques et la coopération médiatique entre la Chine et l’Afrique, cette année, du mois d’août à décembre, le Centre d’échange et de recherche pour les journalistes chinois et étrangers affiliés au Laboratoire clé d’Etat de convergence des médias et de communication, en collaboration avec l’Ecole d’études internationales, ont co-organisé une série de lectures conçue spécialement pour le programme de formation des journalistes francophones de l’Afrique.
La Chine et l’Afrique forment une seule famille
« Je voudrais exprimer ma gratitude au Centre international de presse et de communication de Chine pour nous avoir confié un projet aussi significatif. Je tiens également à exprimer mes plus sincères félicitations aux journalistes africains qui ont participé et mené à terme cet échange », a dit Hou Jun, secrétaire du comité du parti communiste du laboratoire clé d’Etat de convergence médiatique et de communication de l’Université de communication de Chine,
Selon elle, même les montagnes et les mers ne peuvent éloigner les personnes ayant des aspirations communes. Les relations entre les pays résident dans l’affinité mutuelle entre les peuples. Et l’affinité mutuelle entre les peuples réside dans la compréhension mutuelle des cœurs. La Chine et l’Afrique forment une seule famille. Les deux ont toujours été une communauté de destin commun, l’amitié sino-africaine naît des rencontres multiples de nos civilisations différentes et elle commence par des échanges amicaux entre nos peuples. En tant que pont reliant les cœurs des gens, les journalistes des médias sont des enregistreurs des changements mondiaux, des communicateurs de dialogues entre différentes civilisations, des participants à la coopération et des promoteurs du développement pacifique. Au total, treize journalistes venus de treize pays différents, tels que le Burundi, le Togo, le Congo (Brazzaville), le Congo (Kinshasa), le Djibouti, la Guinée, la Guinée-Bissau, la Côte d’Ivoire, le Madagascar, le Mali, le Niger, le Sénégal, et le Sao Tomé-et-Principe ont participé à cette formation. « J’espère que cette expérience va aider nos amis journalistes africains à mieux comprendre la Chine et à mieux faire des reportages sur la Chine. J’espère également qu’à travers cet échange, nos amis africains vont découvrir le développement rapide de l’enseignement médiatique dans les universités chinoises et qu’ils vont apporter leur contribution pour approfondir la relations amicale sino-africaine » a dit Hou Jun.
L’amitié n’a pas de distance, on peut être aussi proches que des voisins
L’amitié entre la Chine et l’Afrique transcende le temps et l’espace, s’étend au delà des montagnes et des mers. « A l’intersection de l’histoire et de l’avenir, travaillons ensemble pour avancer ensemble et souhaitons ensemble que l’arbre de l’amitié sino-africaine grandisse à feuilles persistantes dans un monde de coexistence harmonieuse et de prospérité commune des civilisations ! Que le programme du CIPCC pour les journalistes francophones de l’Afrique réussisse de mieux en mieux », souligne Hou Jun.
Yu Lei, directeur du CIPCC (Centre international de presse et de communication de Chine) dit que c’est à partir de cette année, que le CIPCC commence, pour la première fois, à tenir une série de lectures en langue française, sur tous les domaines de la Chine, y compris l’échange médiatique, pour que les journalistes francophones africains, puissent mieux comprendre la Chine avec plus de précision et en profondeur.
Au cours de la période de formation, à travers dix sessions de lectures, les journalistes ont donc acquis une compréhension éclaircie des conceptions ou des solutions chinoises, tels que « la modernisation à la chinoise », « la démocratie populaire intégrale », « la ceinture et la route », « trois initiatives globales », et bien entendu, une meilleure compréhension sur le développement des médias chinois et du phénomène de la communication dans les points chauds du temps moderne. Tout comme une perception rationnelle de la Chine, ces lectures étaient couplées avec les différentes visites sur place formant une combinaison de théories et de pratiques. « Le temps passe vite, nous avons encore beaucoup d’histoires à raconter, de vastes étendues à voir, une culture brillante à explorer. Mais cette fenêtre a été ouverte, je suis sûr qu’il y aura encore plus d’histoires merveilleuses, qui viendront sans cesse dans vos yeux. Je m’attends sincèrement à ce que vous continuiez à suivre la Chine après le retour, et nous nous efforcerons également, comme toujours, de créer plus d’opportunités pour que vous puissiez revenir en Chine de temps en temps dans l’avenir, pour le travail ou pour les études», indique Yu Lei.
Selon lui, le développement et la transformation de la Chine ont, non seulement apporté des changements et des avantages considérables au peuple chinois, mais ont eu, également, un impact de plus en plus important et profond sur le monde. Connaître et présenter la Chine de manière objective et correcte, ce n’est pas seulement le travail du CIPCC, mais aussi la mission des collègues de l’Université de la Communication, et finalement l’intérêt commun des amis journalistes. « J’espère que votre enthousiasme et la couverture de la Chine ne cessent pas avec la fin de ce programme, mais deviennent un début ou une continuation. N’oubliez jamais, la Chine sera toujours votre deuxième pays et soyez toujours bienvenus à la famille», souligne Yu Lei. De leur côté, les journalistes ont manifesté leur joie, leur satisfaction et ont promis d’être des ambassadeurs, de la Chine en Afrique et dans le monde. Cependant, estimant n’avoir pas acquis la moitié de ce que la Chine a, à offrir comme connaissances et expérience, à partager aux autres, ils souhaitent que ce pays continue à organiser d’autres séries de formation complémentaires ou suplémentaires à l’intention des journalistes africains pour les amener à joueur efficacement leur rôle dans le cadre de la promotion de la coopération et d’amitié sino-africaines.
Alfred Nimbona
Beijing