Le Général-Major Aloys Ndayikengurukiye, récemment nommé à la tête de la province de Bujumbura, a initié sa prise de fonction par une rencontre stratégique. Il a réuni ses collaborateurs pour leur exposer sa vision axée sur la synergie, la sécurité et le développement. Son objectif est clair : hisser la province au premier rang national en mobilisant l’ensemble des acteurs, y compris la population, autour d’une action coordonnée et rigoureuse.

Le Général-Major Aloys Ndayikengurukiye a entamé sa mission en réunissant les administrateurs communaux et leurs secrétaires exécutifs. Au cours de cette première rencontre, le gouverneur a déclaré que cette réunion marque le début officiel de leur collaboration. Il a souligné l’importance d’une synergie parfaite entre toutes les entités de l’administration provinciale.
Le nouveau gouverneur a exhorté ses équipes, à travailler main dans la main pour garantir la paix et la sécurité, qu’il a considérées comme des piliers fondamentaux pour le développement. Il a affirmé, avec conviction : « C’est une première réunion, nous devons fournir nos efforts, travailler ensemble pour le développement durable,»
Dans une logique de résultats, M. Ndayikengurukiye a confié à ses collaborateurs. « Notre objectif est que notre province occupe la première place dans le développement du pays, ». Pour atteindre ce but, il a insisté sur l’importance de l’efficacité et de la reddition des comptes à tous les niveaux de l’administration. Cette réunion inaugurale a mis en lumière une gouvernance axée sur le bien-être de la population et des résultats concrets.
Enfin, M. Ndayikengurukiye a mis l’accent sur la nécessité de surveiller de près, les ressources du pays, notamment les terres domaniales et les biens communaux. Il a encouragé les responsables, à se rapprocher de la population en se rendant sur le terrain. Selon le gouverneur, c’est en écoutant directement les souhaits et les projets des citoyens que le développement peut véritablement prendre son essor et se propager. Ces échanges directs permettront de mieux comprendre les besoins réels et d’adapter les projets en conséquence.
Jean Marie Ndayisenga