Une bonne éducation des citoyens s’impose dans le lutte contre ce désatre
En date du 13 mai 2025, lors de la célébration de la journée internationale de sapeur-pompier, le président de la Croix-rouge en mairie de Bujumbura Elias Sentamba et colonel de police Richard Ndikumana ont donné une proposition d’un comportement qu’on doit adopter pour vivre dans un pays qui n’a pas des incendies et catastrophes naturelles. Tous les deux confirment que les sapeurs-pompiers ne peuvent rien faire sans une bonne éducation des citoyens.
(Photo : Elie Niyoyitungira (stagiaire)
Pour Elias Sentamba, il trouve que les citoyens burundais méritent une instruction pour présentir l’imminence des catastrophes, car ce sont eux les plus perdants. « Je suis très étonné si je visite certaine places des marchés burundais. On trouve des gens qui n’ont pas respecté des mesures prévues par l’urbanisme. Si on essaie d’analyser, on voit que ces gens là ne sont pas bien informés que s’il, se produit un l’incendie, ce sont eux qui vont perdre en premiers lieu avant que le pays soit touché. De là alors les sapeur-pompier sont appelés à multiplier des enseignements pour sensibiliser aux citoyens qu’ils doivent respecter la loi et pendre le devant pour lutter contre les incendies et des catastrophes naturels », a dit M. Sentamba pour montrer que les citoyen ont une contribution incontournable dans la prévention des risques et de gestion de catastrophes.
Quant à Richard Ndikumana, il a dit que les sapeurs-pompiers ont un rôle important pour la prévention des risques et de gestion des catastrophes mais qu’une contribution de la population reste incontournable. «Comme le nombre de sapeurs-pompiers dans notre pays reste moins éléve, je voix qu’on doit organiser des formations de base pour permettre chaque à individu reçoit une notion de base de secourisme en cas de besoin. Les sapeurs-pompiers se donnent corps et âme mais ils ne peuvent pas tout faire sans la contribution des bénéficiaires», a-t-il dit pour montrer que l’union fait la force.
Ces deux représentateurs ont interpellé tous les citoyens burundais à changer leurs habitudes pour bâtir un pays décent et dynamique.
Elie Niyoyitungira (stagiaire)
