
La première dame burundaise a remercié Pasteur Marcello Tunasi et a demandé aux participants de reconna$itre la faveur de Dieu envers eux
Le mardi 19 juillet 2020, la Première dame du pays, Angéline Ndayishimiye, a participé à la clôture de la croisade animée par le pasteur congolais Marcello Tunasi à l’Eglise du Rocher. Mme Ndayishimiye a recommandé aux participants de bien suivre les enseignements de cet envoyé de Dieu qui vient de loin pour montrer aux burundais comment vivre, travailler et communier avec Dieu.
La croisade de trois jours qui avait débuté le vendredi 15 juillet 2022 à l’Eglise du Rocher a été clôturée le mardi 19 juillet 2022 en présence de la Première dame Angéline Ndayishimiye. Elle a remercié les membres de l’Eglise du Rocher et la bergère de cette Eglise, Pasteur Denise Bucumi Nkurunziza de l’avoir invité à cette croisade. Elle a aussi remercié Pasteur Marcello et Dieu qui l’a envoyé au Burundi. Elle a demandé aux participants de reconnaitre la faveur de Dieu envers les burundais à travers ce pasteur qui vient de loin pour venir au Burundi en vue de prêcher l’évangile de Jésus Christ. « Je demande à vous tous qui êtes présents de ne pas négliger l’honneur que nous avons reçu de la part du Seigneur. Si nous sommes ici c’est que Dieu a un message pour nous. Certains d’entre nous ont laissé différentes tâches à la maison et sommes ici rassemblés autour de la parole de Dieu, ne gâchons pas alors ce bon moment, suivons attentivement ce que Dieu veut pour notre vie », a indiquez Mme Ndayishimiye.
Pasteur Marcello Tunasi a remercié à son tour la première dame, du Burundi et l’ancienne Première dame Pasteur Denise Bucumi Nkurunziza, pour leur bonne coopération. Il a salué leur respect mutuel. Pour lui, c’est un grand honneur pour le Burundi d’avoir ces deux dames exemplaires qui ont donné à Jésus Christ la première place dans leur vie.
Des enseignements aux couples
Dans ses enseignements pour les couples mariés, Pasteur Tunasi leur a recommandé de se poser dix questions à savoir ce que leurs conjoints n’aiment pas, ce qu’ils aiment ce que l’un reproche l’autre, si devant Dieu chacun peut dire qu’il est une bonne femme ou un bon mari, s’ils sont un bon père et une bonne mère. Il leur a demandé aussi combien de temps ils donnent à leurs enfants, combien de temps chacun passe avec son conjoint, la place du téléphone et de la télévision dans leurs maisons, s’ils ont un culte familial chez eux et quelle est la place de Jésus Christ dans leurs familles.
Gratiella Irakoze