La Première dame du Burundi, Angéline Ndayishimiye est rentrée au pays, le Mercredi 17 décembre 2025, en provenance d’une mission de travail à Freetown en Sierra Leone. Elle s’est jointe à ses consœurs réunies dans l’Opdad (Organisation des Premières dames d’Afrique pour le développement) aux cérémonies de lancement officiel de la campagne sur le renforcement de la résilience des femmes et filles face au changement climatique et aux conflits, le 12 décembre 2025.

En marge de l’Assemblée générale des Nations unies en septembre 2025, elles se sont convenues de commencer à mettre sur pied un projet à long terme qui vise à soutenir les femmes africaines pour faire face au changement climatique, aux crises et conflits dans les pays africains. Ce projet sera mise en œuvre dans tous les pays membres de l’Opdad.
Le 12 décembre 2025 à Freetown, elles se sont réunies en vue de lancer les activités de ce projet, qui vise à soutenir le développement de la femme et à faire face aux changements climatiques et aux crises éventuelles qui peuvent survenir dans les pays africains.
«C’était une opportunité pour la Première dame du Burundi de montrer que le Burundi a déjà fait un pas de géant dans cette thématique, parce qu’il soutient le développement de la femme rurale burundaise et fait face aux changements climatiques éventuels. Le Burundi soutient ce projet et pourra contribuer et donner l’expérience pour que les autres pays puissent avancer dans ce sens.», indique Thaddée Ndikumana, secrétaire exécutif de l’Opdd-Burundi.
Au cours de ce voyage, Angéline Ndayishimiye et ses consœurs ont pu constater l’état d’avancement des activités de la fondation de la Première dame de la Sierra Leone qui vise à soutenir la fille de ce pays en particulier et la fille africaine en général.
«Il y a eu des festivités, des marches et manifestations pour soutenir la fille sierra léonaise. Le Burundi s’est joint à cette activité, tenant compte que la Première dame du Burundi a déjà commencé ces activités à travers sa fondation Bonne action Umugiraneza. Cela se manifeste dans les activités sportives, le soutien de la fille burundaise tant dans le domaine de la santé que dans le domaine de l’éducation, etc.», fait- il savoir.
Médard Irambona
