Evariste Ndayishimiye, un berger rassembleur de moutons
Un vendredi pas comme les autres dans le pays que les ancêtres ont baptisé « pays de lait et de miel », un événement riche en couleurs et qui sort de l’ordinaire s’est déroulé au stade Ingoma de Gitega, la capitale politique du Burundi. Un défilé de tous les candidats des différents partis politiques aux élections communales et à la députation vient d’épater le monde entier. Une démonstration des Burundais qui dénote un degré de maturité démocratique. Tous les candidats en lice saluent les efforts du chef de l’Etat en la personne d’Evariste Ndayishimiye et de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) pour une bonne organisation des élections. Le président Ndayishimiye, pacifiste par essence, ne cesse d’étonner le monde par des actions concrètes visant à oeuvrer pour la paix en tout et partout. Selon ce leader charismatique, on ne peut plus rassembleur, les temps où les acteurs politiques au Burundi se regardaient en chien de faïence sont révolus. Il fustige toute tentative qui sape l’unité qui a toujours caractérisé les Burundais depuis la nuit des temps.
C’est le moment, dit-il, d’un combat acharné contre l’ennemi commun à tous les Burundais qui est la pauvreté. Des images rares au monde, au cours de cet événement, jamais existé au cœur de l’Afrique pendant la période électorale, montre le Secrétaire général du parti CNDD-FDD au pouvoir et le président du Congrès national pour la liberté (CNL), principal parti d’opposition, côte à côte au stade Ingoma de Gitega, la capitale politique burundaise. C’est un symbole unique en son genre d’unité politique au Burundi dans un climat électoral qui était souvent tendu. Grâce aux efforts incommensurables du véritable Père de la Nation de Ntare, le Burundi avance à pas de géant vers les élections générales du 5 juin 2025. Dans la même logique, la Ceni affine l’organisation de ces dernières, tandis que tous les citoyens sont invités à contribuer à la réussite de ce processus dans un climat de convivialité et de fraternité.
Le Chef de l’Etat, dans son caractère d’humilité légendaire, s’associe chaque jour aux citoyens ordinaires de tous les coins du pays dans les travaux d’intérêt public. L’enthousiasme va grandissant chez le peuple Burundais qui trouve en lui, un père de la nation digne de ce nom n’en déplaise à ses détracteurs. Les jaloux du régime de Gitega ont tari des critiques. Les propos divisionnistes qu’ils avaient répandus pour ternir l’image de leur patrie n’ont pas eu gain de cause face au leadership fort et rassembleur du Général Neva. Des témoignages et réalisations tangibles parlent d’eux-mêmes, du Sud au Nord et de l’Est à l’Ouest du cœur de l’Afrique, c’est la concorde. C’est le résultat du travail de longue haleine abattu par cet infatigable combattant pour la paix et visionnaire inégalable du développement. Le récent événement de Gitega en dit long. Le peuple Burundais ne tarit jamais d’éloges à l’endroit de ce patriarche qui se défend bec et ongle pour un meilleur avenir de tous les Burundais. Il a su consolider un climat politique apaisé et inclusif. Ce qui est un indicateur qui dépeint l’enracinement de la démocratie au Burundi. Son bilan depuis sa prise des rênes du pouvoir mérite d’être soutenu par tous les citoyens afin d’atteindre la vision du Burundi dont il est auteur et artisan.
En mettant un terme à notre éditorial, nous affirmons sans risque de nous tromper que les Burundais affichent une grande maturité démocratique autour d’un chef d’Etat rassembleur plus que jamais. Que même les égarés retrouvent les rails du train en pleine marche vers le développement. Quand nous parlons des égarés, il faut comprendre les auteurs du putch manqué du 13 mai 2015 qui en même temps, du haut des ailes protecteurs de ceux qui les avaient mandatés, persévèrent dans leur sale besogne de ternir l’image du notre très bon pays, le Burundi de Nyaburunga. Les Burundais ont tourné la page, et ils ne songent plus y revenir. A eux de se repentir et de demander pardon au peuple Burundais, la justice devant faire ce qu’elle doit faire sous le haut patronage du grand rassembleur que le pays a connu en la personne de Général Evariste Ndayishimiye.
Donat Maganya