Dans l’après-midi du jeudi 22 décembre 2022, Emmanuel Sinzohagera, président du Sénat du Burundi est rentré d’une mission de travail qu’il avait effectuée à Arusha en Tanzanie. Il a signalé que l’agenda était centré sur deux points essentiels, à savoir la prestation de serment des membres de l’Assemblée législative est-africaine (EALA) et la mise en place de l’organe suprême de cette institution régionale. M. Sinzohagera a signalé que l’honorable Joseph Ntakirutimana a été élu comme président de la chambre de l’EALA.
A son arrivée à l’aéroport international Melchior Ndadaye de Bujumbura, Emmanuel Sinzohagera, président du Sénat du Burundi, a fait savoir que la mission de travail à Arusha était de prendre part aux cérémonies marquant la rentrée parlementaire de la 5e législature de l’Assemblée législative de la Communauté de l’Afrique de l’Est.
M. Sinzohagera a précisé que l’agenda était centré sur deux points essentiels, à savoir la prestation de serment des membres de l’East African Aegislation Assembly (EALA) et la mise en place de l’organe suprême de cette institution régionale.
Le président du Sénat a signalé que Joseph Ntakirutimana a été élu comme président de la chambre de l’EALA, et M. Sinzohagera a pris l’occasion de souhaiter à ce dernier plein succès dans ses nouvelles fonctions. « L’élection de Joseph Ntakirutimana marque un nouveau tournant dans le concert des nations pour le Burundi», a ajouté M. Sinzohagera.
Il a pris également l’occasion de féliciter le président de la république du Burundi pour les efforts qu’il fournit afin que notre pays atteigne un autre niveau, surtout dans le renforcement des relations bilatérales, mais aussi dans la création d’une ouverture pour notre pays.
« Parce que l’élection d’un Burundais pour diriger un organe si important, montre combien les Burundais devraient franchement s’atteler au travail pour ne pas perdre les dividendes de ce positionnement», a-t-il ajouté.
« Nous avons eu l’occasion de discuter avec le secrétaire général de l’EAC sur pas mal de sujets, notamment le dynamisme du traité qui vient de passer trois ans, etc. et je pense qu’il pourra tenir compte de nos préoccupations et trouver des solutions. Etant donné que la communauté s’agrandit, M. Sinzohagera a dit qu’on doit repenser aux textes juridiques de la communauté.
Alexandre Niyonzima (Stagiaire)