Le Samedi 16 décembre 2023, le Centre «Yezu mwiza» de la commune Kabezi en province de Bujumbura a reçu un don de vivres et de non vivres octroyé par la Première dame du Burundi et présidente de la Fondation Bonne action «Umugiraneza», Angeline Ndayishimiye. Comme l’a indiqué Désiré Yamuremye, représentant légal de ce Centre, l’évolution de la santé des personnes encadrées est appréciable. Elles ne présentent plus de symptômes du VIH et leurs enfants naissent séronégatifs.
Dans son discours, Désiré Yamuremye, représentant du Centre «Yezu mwiza» a indiqué que ce centre date de longtemps dans la province de Bujumbura. Il a signifié que la raison qui a poussé le centre à assurer le suivi de ces personnes vivant avec le VIH/Sida est qu’elles sont en train de prendre des médicaments. Actuellement, elles ne présentent plus de symptômes du VIH. C’est donc, selon lui, un bon signe que le Burundi se prépare à atteindre l’agenda 2030 selon lequel, il y aura non seulement zéro VIH dans le sang des séropositifs mais également zéro naissance avec ce virus. . Les autres intervenants devraient se joindre au centre afin de conjuguer les efforts et ainsi rompre avec ce fléau car selon lui, l’union fait la force. M. Yamuremye a souligné que ce Centre parvient à franchir ce pas grâce à la volonté du président, Evariste Ndayishimiye qui ne ménage aucun effort pour interpeller les Burundais à s’atteler au travail pour accroître la production et développer le pays.
Se regrouper dans des coopératives, une des stratégies pour se développer
M. Yamuremye a laissé entendre que l’initiative du chef de l’Etat pour développer le Burundi a poussé ce centre à mener régulièrement des sensibilisations à l’endroit des personnes qu’il encadre pour qu’elles se regroupent dans des coopératives, en vue de lutter contre la pauvreté. Cela les pousse à apporter leur contribution dans la mise en œuvre de la vision d’émergence et de développement du Burundi . S’appuyant sur la parole de Dieu se tiré du livre de saint Matthieu 25, M. Yamuremye a enfin invité les autres burundais à avoir l’esprit de partage avec ceux qui manifestent le plus de besoin.
Tharcisse Sibonkomezi