La Première dame du Burundi Angéline Ndayishimiye, en tant que présidente de la Fondation Bonne action umugiraneza et représentante légale de la Fondation Merck au Burundi, a apporté le mardi 25 mai 2021 une assistance aux familles touchées par la Covid-19. Il s’agit notamment des femmes exerçant le petit commerce. Elles ont reçu une assistance constituée de riz, de haricot, de lait en poudre, de savons de lessive, de pagnes et d’huile de cuisine.
L’activité s’est déroulée au terrain de jeux de la commune Rugombo de la province de Cibitoke où la population de cette localité a accueilli chaleureusement la Première dame du Burundi tambour battant. Dans son discours, la Première dame du Burundi Angéline Ndayishimiye a indiqué que l’objectif de sa visite est de soutenir les victimes de la pandémie de Covid-19. Elle a expliqué qu’il y a des familles qui vivaient du petit commerce qui ne fonctionne plus correctement à cause de la Covid-19. Elle a précisé qu’en partenariat avec la Fondation Merck qui a son siège à Doubaï, elle a pensé à ces familles touchées par la pandémie du fait que le petit commerce n’est plus exercé librement car, on ne peut plus se rendre où l’on veut et quand on veut spécifiquement dans cette localité proche de la frontière Ruhwa où le commerce transfrontalier était fructueux avant la pandémie. La Première dame a souligné qu’elle est motivée par la charité pour soutenir ces familles et les a rassurées qu’elles ne sont pas abandonnées. Elle leur a conseillé de faire face à la pandémie en travaillant en associations et de chercher ce qu’elles peuvent faire à l’intérieur du pays.
La famille de Daniel est également assistée
Mme Ndayishimiye a souligné que la seconde raison de sa présence dans cette commune est de rendre visite à la famille de l’enfant Daniel, né siamois et qui a été soigné grâce à son concours. Elle a remis l’assistance destinée à cette famille au gouverneur de la province de Cibitoke.
L’une des bénéficiaires, prénommée Bernardine a vivement remercié la Première dame qui venait de secourir les familles en difficultés. Selon elle, c’est un signe que le gouvernement du Burundi ne les oublie pas et qu’il les soutient autant que leurs activités.
Grâce-Divine Gahimbare