Le lundi 28 juin 2021, le ministère des Affaires étrangères et de la coopération au développement a lancé la semaine diplomatique, édition 2021. Ce cadre diplomatique d’échange sera une occasion de constater certaines évolutions importantes sur le plan économique et du développement ainsi que sur le plan culturel, touristique et historique, comme l’a fait savoir le secrétaire permanent au sein de ce ministère, Isidore Ntirampeba.
Sous le thème « Une diplomatie économique à travers la promotion du partenariat public- privé et l’entrepreneuriat local pour la mise en œuvre du Plan national de développement 2018-2027 », le ministère en charge des relations extérieures a organisé une semaine diplomatique du 28 au 30 juin 2021. Au cours de cette semaine, les différents diplomates accrédités au Burundi vont découvrir les évolutions importantes sur le plan économique et du développement ainsi que sur le plan culturel, touristique et historique. Comme l’a fait savoir Isidore Ntirampeba, ce sera pour eux, une occasion de visiter les entreprises et industries, les sites touristiques et historiques afin de constater la beauté physique du pays, son identité culturelle ainsi que les efforts consentis par le gouvernement pour améliorer encore et toujours le bien- être et le niveau de vie de la population burundaise.
Un événement bénéfique pour le peuple burundais
Depuis l’accession au pouvoir du président Evariste Ndayishimiye, avec l’objectif fort de faire du Burundi un Etat laborieux, le secrétaire permanent a fait savoir que c’est dans cette ligne que les diplomates vont visiter les différents sites à caractère économique ou porteurs de projets. Il s’agit notamment des projets d’auto-emploi chez les jeunes comme solution au chômage et du soutien aux entreprises productrices en vue d’arriver à l’autosuffisance. Isidore Ntirampeba a fait savoir qu’à travers cet événement, le peuple burundais aura surtout un gain économique grâce à l’important nombre de visiteurs dont les représentants diplomatiques, les chefs de missions consulaires, les représentants des organisations internationales et autres. Ces derniers vont constater les opportunités que le Burundi offre en matière d’investissement et pourraient contribuer significativement à la mobilisation des investissements directs étrangers, ce qui donnerait naissance à la création d’emploi, à la production, à la commercialisation, l’exportation, etc.
Fiacre Nimbona