
Une occasion de reccueillir ses conseils et orientations.
Le président de la République Evariste Ndayishimiye a reçu en audience, le mercredi 15 février 2023, au Palais présidentiel Ntare Rushatsi, respectivement l’envoyée spéciale du chef d’Etat russe en charge du bien-être du peuple, Anna Popova, et le coordonnateur résident du système des Nations unies au Burundi Damien Mama. Les échanges ont porté sur la poursuite de la coopération pour le bien-être de la population.
« La pandémie de la Covid-19 a montré son influence négative sur la population pour ce qui est de l’économie mondiale. Pour cela, la Fédération de Russie fournit beaucoup d’efforts pour les pays amis, les pays africains afin de protéger leurs populations contre les effets négatifs de cette pandémie », a précisé Anna Popova, cheffe de service d’Etat russe du bien-être du peuple.
La position du chef de l’Etat burundais est claire et visible dans la mesure où c’est une base pour le développement des relations amicales entre le Burundi et la Russie. Aujourd’hui, nous sommes ici pour faire tout notre mieux pour protéger la population contre les infections dangéreuses, a-t-elle ajouté.
C’est ainsi qu’il y a eu ouverture d’un premier laboratoire pour détecter les infections et voir comment y faire face. A cet effet, les russes aident à la formation des spécialistes burundais pour garantir le bien-être du peuple et le bien être sanitaire technologique.
Le président Ndayishimiye lui a expliqué que le plus important est de garantir le bien-être de la population. Pour atteindre cet objectif, les deux parties doivent travailler conjointement.
Des évolutions positives pour le Burundi, d’après le système des Nations unies
Damien mama, coordonnateur résident du système des Nations unies au Burundi a été également reçu par le chef de l’Etat dans le cadre de la fin de sa mission au pays. « J’ai eu l’opportunité de faire le point au président de la République de ce qu’on a pu faire pendant ma mission. Cela a été aussi l’occasion de recueillir ses conseils et orientations sur la poursuite de coopération entre le système des Nations unies et le Burundi », a-t-il souligné.
Mama a fini sa mission avec le cœur lourd car le Burundi est un pays qu’il aime beaucoup, et j’ai eu la chance de voir les évolutions positives que le pays a connues. Mon souhait est que ces évolutions se poursuivent pour que la paix et la relance économique retrouvées, la mobilisation de l’énergie de l’ensemble des Burundais tel qu’insuflait par le chef de l’Etat, puissent continuer pour le bonheur de tous les Burundais et les Africains, a-t-il conclu.
Yvette Irambona