Le représentant de l’Organisation mondiale de la santé au Burundi (OMS), en collaboration avec le ministère ayant la santé dans ses attributions a organisé, samedi 1er avril 2023, une marche couplée par la plantation d’arbres sur différentes routes de la commune Mukaza. Ces activités marquaient le lancement officiel d’une semaine dédiée à la célébration du 75e anniversaire de l’OMS, et 60 ans d’existence au Burundi. Le représentant de cette Organisation mondiale de la santé au Burundi, Xavier Crespin a indiqué que si on veut réussir la santé pour tous, il faut privilégier l’activité physique.
«Notre slogan pour ces 75 ans d’existence de l’OMS, c’est la santé pour tous», a révélé M. Crespin. Comme indiqué, la plantation de ces arbres marque une série d’activités prévues jusqu’au 7 avril 2023, le jour de la célébration de cet anniversaire. Le choix de faire une marche et de planter les arbres n’est pas un fait du hasard, comme l’a expliqué le représentant de l’OMS. Ces deux activités signifient le sport et la santé pour améliorer la santé et le bien-être. « Je vous exhorte, au delà des activités de planter ces arbres, de continuer à faire l’activité physique».
Crespin a aussi insisté sur l’intérêt de pratiquer le sport pour la santé, affirmant que si on veut réussir la santé, il faut privilégier l’activité physique.
En outre, a également mentionné M. Crespin, « Nous avons planté les arbres pour améliorer l’environnement ». Les arbres contribuent énormément au même titre que d’autres actions, à rendre l’environnement sain. « L’arbre par ses fruits, l’arbre par ses feuilles, l’arbre par son ombre, l’arbre par son oxygène, (…), contribue à un environnement sain et à notre santé ».
Le représentant de l’OMS a exhorté tout un chacun, là où il peut, de planter les arbres et de les entretenir. Il n’a pas oublié de mentionner que plusieurs activités seront organisées jusqu’au jour de la célébration de ces 75 ans d’existence. Il s’agit à titre d’exemple de l’atelier média au cours duquel les activités de l’OMS seront exposées et expliquées aux journalistes et à d’autres partenaires du ministère de la santé et de l’OMS.
Moïse Nkurunziza