Le vendredi 16 juillet 2021, l’usine de fabrication d’engrais organo-minéraux et de Chaux agricole, Fomi, a reçu après le travail de deux jours d’un expert international, le certificat de normalisation internationale «Iso». Dès lors, l’usine pourra exporter ses produits sur le marché international, comme nous l’a fait savoir le directeur général de cette usine, Simon Ntirampeba.
«Le certificat ‘Iso’ que nous venons de recevoir au niveau de la Fomi donne accès des produits de l’usine aux marchés internationaux.», a fait savoir le directeur général de l’usine. En outre, M. Ntirampeba a indiqué que ce certificat prouve que la production agricole issue des champs de culture sur lesquels on aura appliqué les fertilisants organo-minéraux de l’usine Fomi sera également dans les normes pour le marché international. Comme il l’a expliqué, l’acquisition de cette certification, qui est un référentiel dans le management de la qualité, présente des avantages économiques et une visibilité sur le marché international des produits burundais. Il n’a pas manqué d’exprimer sa satisfaction sur ce pas combien important. Il a adressé ses remerciements au gouvernement du Burundi pour sa contribution à travers la facilitation aux investisseurs et à toute autre personne ayant joué un rôle dans la réussite de cette entreprise.
D’autres entreprises invitées à s’intéresser à la certification
Selon l’expert qui a présenté le certificat, l’acquisition d’une certification permettant d’exporter les produits et de gagner une visibilité internationale est un pas mérité pour cette entreprise. Il a expliqué que pour y arriver, cette usine a travaillé dur car on ne peut pas franchir les étapes essentielles pour obtenir sa certification Iso d’un seul coup. Cet expert a profité de l’occasion pour prodiguer de conseils concernant l’amélioration progressive de la qualité des produits. «La qualité est un voyage non pas une destination. On doit l’améliorer tous les jours. », a-t-il martelé. Il a invité d’autres entreprises à s’intéresser à la certification car, disait-il, non seulement on importe à l’étranger, et par là on gagne une visibilité internationale, mais aussi on améliore des connaissances en rapport avec le commerce international.
Fiacre Nimbona