Le Premier ministre Alain Guillaume Bunyoni a reçu en audience, le mardi 21 septembre 2021, la représentante de la Banque mondiale au Burundi, Véronique Kabongo. La confirmation de l’appui de la Banque mondiale dans le développement socio-économique, était un des points au centre des échanges.
« Nous espérons engager cette année une enveloppe totale de 500 millions de dollars américains de don dans des domaines aussi variés que la facilitation du commerce, la numérisation, la digitalisation, les infrastructures (routes) et la protection sociale ». Tels sont les Propos de Véronique Kabongo, représentante de la Banque mondiale au Burundi à la sortie de l’audience.
La Banque mondiale a confirmé son engagement pour le Burundi et son appui dans le développement socio-économique notamment, par le biais du financement de projets importants qui vont aider le pays à se développer au niveau socio-économique. « Ce sont des projets du gouvernement du Burundi que nous sommes prêts à financer ».
Transformer l’économie burundaise
Mme Kabongo a précisé que la Banque mondiale est aussi un partenaire du gouvernement du Burundi pour faire les réformes nécessaires qui lui permettront la transformation de l’économie. « Cela va aider à attirer les investisseurs privés et publics, et nous nous tenons à travailler avec la primature dans ce domaine ». La Banque mondiale va continuer à être auprès des autres partenaires et le Burundi. C’est une institution qui mobilise d’autres partenaires.
Moise Nkurunziza, porte-parole du Premier ministre a, quant à lui, indiqué que le Premier ministre remercie cette institution pour son rôle joué dans le développement socio-économique du pays. Durant les différentes crises qu’a traversées le Burundi, la Banque mondiale est restée aux côtés du Burundi en soutenant divers projets.
Alain Guillaume Bunyoni a aussi souligné que le gouvernement du Burundi a mis en avant six axes prioritaires qui vont contribuer dans la mise en œuvre du Plan national de développement (PND). Il a salué l’initiative de la Banque mondiale de laisser un pays choisir ses propres projets, qu’il présente à cette institution qui les appuie.
Yvette Irambona