La Première dame du Burundi Angéline Ndayishimiye est rentrée au pays en provenance de l’Inde, le samedi 08 novembre 2025. Philémon Nkurunziza, porte-parole de l’OPDD (Office de la Première dame pour le développement), a indiqué qu’au cours de ce voyage, Angeline Ndayishimiye a visité le centre de fertilité IQRAA à Calicut, l’hôpital international IQRAA et l’école des arts et des sciences. Il y a eu signature d’un mémorandum d’engagement entre les médecins indiens de l’IQRAA et la polyclinique “Umugiraneza” dans le but de soigner les personnes qui soufflent d’infertilité.

Selon Philémon Nkurunziza, le centre de fertilité IQRAA de Calicut a déjà plus de cinq cent naissances depuis son ouverture en 2021. Cette problématique d’infertilité se manifeste également au Burundi où polyclinique «Umugiraneza» a de son côté déjà permis à plus de dix naissances et d’autres grossesses qui sont actuellement en cours d’évolution. «Ce voyage a été une occasion d’explorer les technologies modernes et autres moyens de renforcer les capacités de la médecine pour la fertilité familiale au Burundi.», a-t-il fait savoir.
La Première dame Angéline Ndayishimiye a également visité l’hôpital international IQRAA qui accueille plus de deux milles patients par jour. Elle n’a pas achevé son voyage scientifique sans passer par l’école des arts et des sciences qui accueille plus de quinze milles élèves dont milles cinq cent orphelins.
Un acte d’engagement signé
Philémon Nkurunziza a ajouté qu’après ces activités de la Première dame du Burundi, un acte d’engagement a été signé entre ces médecins indiens de l’hôpital et centre international de recherche IQRAA de Calicut et la polyclinique «Umugiraneza» surtout en ce qui est de l’envoi des médecins spécialistes au Burundi.
Ainsi, a-t-il conclu, ce voyage a été bénéfique en faveur de la polyclinique «Umugiraneza», propriété de la Fondation bonne action «Umugiraneza» dirigée par la Première dame de la république du Burundi Angéline Ndayishimiye, car ces médecins seront dans quelques mois au Burundi pour soigner les malades, surtout les familles hantées par l’infertilité.
Médard Irambona
